Parmi les actions prioritaires défendues par la France
- la nomination d’un envoyé spécial de l’ONU pour l’eau, portant les enjeux du 6ème ODD et offrant une plus grande visibilité à la question de l’eau sur la scène internationale ;
- l’organisation régulière de réunions inter-gouvernementales sur l’eau douce pour entretenir une dynamique d’échanges et de progrès ;
- l’accélération des actions visant les 20 cibles consacrées à l’eau dans les ODD, dont le retard pourrait pénaliser la réalisation de l’Agenda 2030 ;
- l’inclusion d’un volet eau douce dans tous les sommets thématiques des Nations Unies, toujours dans le cadre de la promotion d’une vision intégrée.