Dans le cadre de sa stratégie de développement, Cultisol a choisi de céder, à compter du 1er février 2012, ses activités jardin Grand Public dont les marques Biofilia et Terlia à la société Oxadis. Au travers de cette cession, Cultisol vise à se recentrer pleinement sur son activité Professionnelle.
Ce choix stratégique va permettre à l'entreprise de renforcer son positionnement sur les métiers de l'étanchéité et d'assurer sa progression en France et à l'export.
Aujourd'hui leader français des kits d'étanchéité pour l'assainissement individuel avec sa marque GeoKit, Cultisol souhaite désormais accélérer son développement en proposant une offre globale de solutions d'étanchéité sur-mesure à forte valeur ajoutée, répondant aux applications environnementales et industrielles.
« La décision de céder notre activité jardin Grand Public a été prise à un moment où nous avions besoin d'intensifier le développement de nos activités professionnelles, explique Patrick Régnier, Président-Directeur Général de Cultisol. Nous avons choisi un acteur incontournable du jardin qui saura poursuivre et amplifier le projet entamé par Cultisol, notamment grâce à sa présence commerciale et à la synergie avec son métier. Cette vente va nous permettre de continuer nos investissements dans le domaine professionnel ».
Créée en 2006, l'activité jardin Grand Public a permis à Cultisol de poursuivre sa croissance tout en diversifiant ses activités. L?entreprise a notamment intégré le secteur du jardin en apportant des produits répondant aux attentes et tendances du marché : accessoires de jardin 100% biodégradables Biofilia et occultation décorative innovante Terlia.
Avec cette opération, Cultisol souhaite aussi renforcer son approche commerciale en apportant à ses clients toute son expertise technique et en assurant une qualité de service encore plus élevée. « Notre force a toujours résidé dans la capacité d'écoute que nous avons auprès de nos clients. Nous désirons désormais mettre à leur service tout le savoir-faire technique dont nous bénéficions dans nos métiers professionnels » souligne Patrick Régnier.
