Les succès d'un Onyx ou d'un Triselec ne sont pas dus au hasard, mais s'expliquent non seulement par la volonté d'entreprendre mais aussi par la qualité des matériaux triés liée à leur écoulement dans des débouchés régionaux. Les masters du déchet : Federec (31,4 MdF), Ecobois (6,5 MdF), Fnade (6 MdF), FEP (26,5 MdF), et les groupes Compagnie Générale des Eaux (8,5 MdF), Lyonnaise des Eaux-Dumez (3,8 MdF), Bouygues, EMC-Tredi et Waste Management (42 MdF) se taillent brillamment la part du lion. Le marché français du déchet industriel actuel comporte plusieurs approches pour être chiffrable : par les investissements en fin de cycle (0,37 MdF), additionnés de ceux de technologies propres (1,8 MdF), avec la part des activités éco-industrielles (6,9 MdF) et du nettoyage en milieu industriel (5,9 MdF), soit un total plus crédible de dépenses de 15 MdF réalisées pendant l'exercice 1991.
Cet article est réservé aux abonnés, pour lire l'article en entier abonnez vous ou achetez le
Acheter cet article
Voir les abonnements