Face à la problématique des sous-produits de désinfection présente dans les eaux de piscine, un nouveau procédé de traitement a été ici étudié en conditions réelles sur une piscine municipale. Il consiste en une ultrafiltration suivie d'une adsorption sur charbon actif. Les conditions opératoires optimales du procédé ont ainsi été déterminées. Après 18 mois de fonctionnement, et face à des contraintes importantes en terme de qualité de l'eau de piscine, le procédé répond parfaitement aux critères de qualité, et assure notamment une concentration en chlore combiné inférieure à 0,35 ppm. Les membranes d'ultrafiltration ont montré une bonne flexibilité et la perméabilité est toujours restée supérieure à 155 L.h-1.m-2.bar-1.
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