Jusqu'en 1996, la station d'épuration biologique de Cellettes (Loir-et-Cher) souffrait de surcharges hydraulique et organique, et de foisonnement filamenteux. Des départs de boues vers le Beuvron étaient aussi réguliers qu'inévitables. En attendant la reconstruction de la station, les autorités locales et l'exploitant ont décidé d'utiliser un agent structurant et lestant des boues pour fiabiliser le fonctionnement de cette station en contrôlant la décantation des boues. En 1998, il apparaît clairement que la station d'épuration de Cellettes assure tout au long de l'année son rôle de dépollution, sans augmentation du coût global d'exploitation.
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