Les effluents vinicoles résultent d'une activité agroalimentaire saisonnière où l'essentiel de la pollution est rejeté sur trois à quatre mois à partir des vendanges. En moyenne, un volume donné d'effluents viticoles est près de dix fois plus polluant que le même volume d'effluents urbains. Chaque litre de vin produit générant une pollution organique de 12 g de DCO, on estime que les effluents vinicoles représentent chaque année une pollution équivalant à 10 millions d'E.H. Comment traiter efficacement ces effluents au meilleur coût ? Cet article tente de répondre à ces questions.
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