La France et le Québec sont confrontés depuis plus de 20 ans à la problématique de la réhabilitation des sites contaminés. L?objectif premier visé par les politiques en place est de supprimer les sources de pollution, afin de garantir notamment la jouissance du site pour les populations. À cette fin, la France et le Québec utilisent un outil reposant sur la même méthodologie générale : l'évaluation des risques toxicologiques. Au-delà de cette méthodologie, des différences existent sur la mise en oeuvre de ces études. Quelles sont ces différences, leurs origines ? Ont-elles une influence sur les résultats des évaluations de risque ?
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