La dissolution, c'est-à-dire le transfert de masse entre une phase huile (organique) et l'eau, est le mécanisme principal à l'origine des pollutions à long terme des eaux souterraines par des substances non miscibles à l'eau, telles que les hydrocarbures pétroliers ou les dérivés halogénés. L'évaluation sur site de ce mécanisme est cependant délicate en raison des fortes hétérogénéités du milieu et du polluant, et de l'inadéquation de l'échelle d'observation. Dans ce contexte, différents essais de laboratoire sont proposés et discutés, afin d'en préciser les intérêts et limites en vue d'une valorisation opérationnelle sur un site pollué.
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