La métrologie française de l'après guerre, dans le domaine du contrôle de l'eau par sondes électrochimiques, est numériquement ramenée à l'unité. Il ne reste en effet plus qu'une seule entreprise familiale "franco-française" de fabrication d'électrodes de mesures physico-chimiques et, ironie du destin, sa raison sociale a comme une consonance japonaise. Il s'agit de HEITO. Mais si, comme son fondateur, les autres créateurs d'entreprises de l'époque sont décédés ; il en reste un qui jouit d'une vieillesse sereine après avoir vendu son usine.
Cet article est réservé aux abonnés, pour lire l'article en entier abonnez vous ou achetez le
Acheter cet article
Voir les abonnements