Les aménagements hydroélectriques en barrages et retenues ont quelquefois des conséquences dramatiques sur les hommes ou les milieux. Sous les eaux de la retenue du Chevril, que contient le gigantesque barrage du même nom achevé en 1952, dort la mémoire des Tignards. Là où la vidange ne laisse plus apparaître tous les dix ans que de la vase et des cailloux, vivait autrefois un village de 400 âmes.
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