La protection électrolytique des réseaux, par anodes sacrificielles en aluminium, est un procédé ancien (1924) dans son principe, qui permet de passiver les surfaces métalliques contre la corrosion et de limiter l'entartrage. La teneur en aluminium, dans l'eau, reste inférieure à 0,5 mg/l, conformément à la réglementation en vigueur. Le procédé PVI/R 500 est régi par microprocesseur et il intègre la consommation d'eau en temps réel ; en outre, il assure la protection cathodique des ballons car il comporte des anodes permanentes en alliage spécial. De nombreux travaux de recherche ont démontré que les hydroxydes d'alumine formés dans l'eau, absorbés par voie buccale, n'étaient pas toxiques pour l'homme.
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