La quantité de graisses et huiles issues des bacs à graisses de collectivités et d'effluents municipaux et agro-alimentaires est estimée à plus de 400 000 tonnes par an pour la France. Ces composés sont d'origine végétale et animale ; ils représentent une source de pollution importante puisque 1 kg de corps gras correspond à environ 2,8 kg de DCO. La biotechnologie constitue une réponse technique efficace à ce problème, avec un bilan financier très en faveur de la biodégradation des graisses in situ.
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