Dans ce Grand Bazar de la récupération des déchets, tout - ou presque - est bon à rentabiliser. Pour les ordures ménagères, exploitation et investissement ouvrent un marché nouveau de 17 MdF. L'ensemble de la collecte des déchets urbains et du négoce des matières premières secondaires, au taux de valorisation insuffisant, développe un chiffre d'affaire important de 56 MdF. Tri sélectif en déchetteries collectives et privées, en expansion parce qu'elles évitent l'envoi de DIB en décharge, accroît le marché du déchet des petits et gros équipements, évalué à 1,6 MdF. Enfin, le marché du déchet industriel se porte bien : 1,4 MdF pour le traitement des déchets spéciaux et une enveloppe financière de 33 MdF pour le nettoyage industriel et celui des sites contaminés, avec leur ingénieur spécifique. Même si la conjoncture actuelle n'honore pas convenablement ce Grand Bazar, il s'agit d'un point de passage obligé.
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