Les graisses résiduaires nous gênent : 450 kt/an qui occasionnent des dépôts, des colmatages, une médiocre épuration des eaux, des odeurs de rance. Elles proviennent de partout, corps gras de consommation alimentaire, lipides humains et bactériens, savons et détergents synthétiques, huiles minérales... Leur chimie est complexe mais leur suivi peut se limiter à celui des acides gras. La station d'épuration d'Achères offre à ce titre un large champ d'investigations.
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