On ne dispose encore que de peu de données issues d'observations de terrain pour la nitrification à faible température et l'objet de cette étude est de déterminer ces vitesses en site réel. Le second objectif est de vérifier l'hypothèse que la flottation des boues dans le clarificateur suite à une dénitrification endogène est moindre à faible température en raison de deux effets combinés : une vitesse de dénitrification relativement faible et une plus grande solubilité de l'azote gazeux. Avec une meilleure connaissance de ces points, le volume du réacteur biologique pourrait être optimisé par la réduction du temps de dénitrification au bénéfice du temps de nitrification. Cette hypothèse permettrait de satisfaire le rejet en azote ammoniacal avec un bassin d'aération de volume réduit.
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