Il faut bien s'habiller : de tissus composés de fibres naturelles d'abord, puis de fibres artificielles ensuite, et en fin de fibres synthétiques. C'est pourquoi le monde des " biffins ", récupérateurs de textiles, est l'un de ces vieux métiers sympathiques qui suivent les besoins de l'histoire et les caprices de la mode, du labeur des canuts aux grandes oeuvres humanitaires. Le marché du déchet textile, toujours très chahuté, considéré comme le " parent pauvre de la récup' ", n'est pas si indigent que ça : étoffes (CA : 725 MF), poils (90 MF), plumes (115 MF). De plus, les " textiles intelligents ", qui arrivent, vont rafraîchir le marché.
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