Les exigences en termes de traitement des nuisances olfactives deviennent de plus en plus fortes en raison de pressions riveraines d'une part et, d'autre part, de traitements des eaux et des boues plus poussés. Ces traitements impactent le niveau d'émission de composés odorants. Le SNITER attire par conséquent l'attention des professionnels sur ce qui, compte tenu du coût du traitement, peut être raisonnablement demandé en termes de performances par les techniques classiques dans leur mise en oeuvre usuelle. Ces performances sont exprimées soit en niveaux de concentrations, soit en unités d'odeur en fonction des traitements les plus courants que sont la biodésodorisation, le lavage chimique, le charbon actif et les traitements thermiques. Il convient en particulier de rester mesuré sur le niveau d'odeur attendu en sortie des traitements, notamment en cas de COV abondants dans l'air à traiter.
Cet article est réservé aux abonnés, pour lire l'article en entier abonnez vous ou achetez le
Acheter cet article
Voir les abonnements