Le développement du nucléaire dans la Vallée du Rhône à été considérable et aucun pays au monde n'a concentré dans un même bassin hydrographique le traitement chimique de l'uranium, la production de plutonium, la séparation isotopique (UF6), la fabrication des combustibles, les différents types de réacteurs (graphite-gaz plutonigènes, réacteurs tritigènes, réacteurs de puissance de type eau légère, réacteurs à neutrons rapides expérimentaux ou de puissance, ...). Dès la création du premier centre nucléaire (Marcoule) dans cette région, une politique de rejets radioactifs liquides a été développée par l'établissement de conventions avec la Santé Publique s'inspirant des recommandations de la CIPR (Commission Internationale de Protection Radiologique). A ces dispositions contractuelles, sont venues se substituer des prescriptions réglementaires. Grâce au développement des techniques d'épuration, les exploitants ont pu maintenir les activités rejetées à un niveau aussi bas que possible selon le principe de l'ALARA (" Aslow as reasonably achievable ")
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