Le trichloréthylène et le perchloréthylène ont été très largement utilisés en industrie durant les cinquante dernières années. Ce sont aujourd'hui des polluants récurrents de nos nappes phréatiques où ils posent des problèmes de santé publique. Aujourd'hui traités par diverses techniques physiques ou chimiques, la voie biologique a jusqu'alors été très peu exploitée pour dégrader ces molécules. Cette voie semble pourtant prometteuse car les microorganismes impliqués et les voies métaboliques sont aujourd'hui mieux connus.
Cet article est réservé aux abonnés, pour lire l'article en entier abonnez vous ou achetez le
Acheter cet article
Voir les abonnements