L'industrie chimique se départit peu à peu de son image impopulaire : elle soigne mieux ses rejets de procédés, ses boues salines et jusqu'à ses boues de peinture. De son côté, l'Administration voue le territoire français aux soins esthétiques, avec la désincrustation de ses " comédons chimiques ". Désormais, la mesure de l'agressivité d'un polluant pourra s'évaluer in vitro, à l'aide de signaux biochimiques précis, et non plus à partir seulement de cadavres de rats.
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