Saisonnalité marquée, fortes charges organiques, stockage sur de longues durées.... La plupart des dispositifs de traitement des effluents viti-vinicoles reposent sur un ouvrage de stockage implanté à l’amont de la filière de traitement proprement dite. Problème : les risques de nuisances olfactives sont réels. Il faudra donc bien souvent trouver le meilleur compromis technico-économique entre le volume de stockage et la taille de l’installation de traitement calculée sur le débit de la charge entrante sachant que le stockage peut aussi faire partie du traitement en contribuant à l’abattement de la charge polluante.
Ainsi, plusieurs options reposant sur des aérateurs de surface peuvent être envisagées pour compléter l’oxygénation naturelle des bassins ou lagunes en augmentant l’apport d’oxygène dissous, en maintenant des conditions favorables à la respiration microbienne, et en évitant ainsi les problèmes d’odeurs.
La première consiste à dimensionner le dispositif sur de faibles puissances spécifiques pour limiter son effet au maintien d’un potentiel d’oxydoréduction suffisant. L’expérience montre cependant que cette faible aération entraîne un abattement non négligeable de la DCO en générant une faible quantité de boues.
La seconde consiste à traiter tout ou partie de la charge polluante dans le cadre du stockage en étalant le traitement sur plusieurs mois si nécessaire, et en utilisant une capacité d’aération plus importante. Cette méthode ne nécessite aucun réactif chimique et ne forme pas de sous-produits nocifs pour l’environnement.
Mais pour limiter la consommation d’énergie électrique et le montant de l’investissement, il est impératif que le dimensionnement de l’installation soit pertinent. Ce qui implique une étude préliminaire rigoureuse associée à une approche spatio-temporelle du contexte et à une étude précise des paramètres physico-chimiques des effluents à traiter. Le recours à des spécialistes de l’aération tels que la société Faivre par exemple, permet d’associer la mise en place d’équipements adaptés à la réalisation d’une étude personnalisée, du début du projet jusqu’à la mise en place de l’installation.
Ainsi, plusieurs options reposant sur des aérateurs de surface peuvent être envisagées pour compléter l’oxygénation naturelle des bassins ou lagunes en augmentant l’apport d’oxygène dissous, en maintenant des conditions favorables à la respiration microbienne, et en évitant ainsi les problèmes d’odeurs.
La première consiste à dimensionner le dispositif sur de faibles puissances spécifiques pour limiter son effet au maintien d’un potentiel d’oxydoréduction suffisant. L’expérience montre cependant que cette faible aération entraîne un abattement non négligeable de la DCO en générant une faible quantité de boues.
La seconde consiste à traiter tout ou partie de la charge polluante dans le cadre du stockage en étalant le traitement sur plusieurs mois si nécessaire, et en utilisant une capacité d’aération plus importante. Cette méthode ne nécessite aucun réactif chimique et ne forme pas de sous-produits nocifs pour l’environnement.
Mais pour limiter la consommation d’énergie électrique et le montant de l’investissement, il est impératif que le dimensionnement de l’installation soit pertinent. Ce qui implique une étude préliminaire rigoureuse associée à une approche spatio-temporelle du contexte et à une étude précise des paramètres physico-chimiques des effluents à traiter. Le recours à des spécialistes de l’aération tels que la société Faivre par exemple, permet d’associer la mise en place d’équipements adaptés à la réalisation d’une étude personnalisée, du début du projet jusqu’à la mise en place de l’installation.