Répondre à la norme NF U44-003 sur les boues normalisées : les sociétés SPF et Choquenet ont relevé le challenge avec le franchissement d’une première étape : épaissir et déshydrater des boues de station d’épuration (urbaine ou industrielle) sans utiliser de polymère.
Déshyvac est un outil qui permet d’obtenir dans un premier temps des boues dites normalisables. Conditionnées au chlorure ferrique et à la chaux poudre (à effet retard pour des résultats optimisés), les boues répondent aux deux premiers critères de la norme : absence de polymère et pré-chaulage avant le premier moyen d’épaississement.
Ces boues, stabilisées et hygiénisées, peuvent alors être stockées en silo (sous forme liquide à 8 %) ou en aire de stockage (déshydratées à 20 %).
La presse qui permettra de répondre au dernier critère de la norme pour l’obtention de boues normalisées fera l’objet d’une phase de tests in situ dans le courant de l’année 2020.
Pour les exploitants de stations d’épuration, cela signifie que ces boues ne seront plus considérées comme un déchet mais comme un produit : a minima, les filières d’élimination verront leurs coûts fortement diminuer, voire disparaître, avec des plans d’épandage beaucoup moins contraignants.
Déshyvac est un outil qui permet d’obtenir dans un premier temps des boues dites normalisables. Conditionnées au chlorure ferrique et à la chaux poudre (à effet retard pour des résultats optimisés), les boues répondent aux deux premiers critères de la norme : absence de polymère et pré-chaulage avant le premier moyen d’épaississement.
Ces boues, stabilisées et hygiénisées, peuvent alors être stockées en silo (sous forme liquide à 8 %) ou en aire de stockage (déshydratées à 20 %).
La presse qui permettra de répondre au dernier critère de la norme pour l’obtention de boues normalisées fera l’objet d’une phase de tests in situ dans le courant de l’année 2020.
Pour les exploitants de stations d’épuration, cela signifie que ces boues ne seront plus considérées comme un déchet mais comme un produit : a minima, les filières d’élimination verront leurs coûts fortement diminuer, voire disparaître, avec des plans d’épandage beaucoup moins contraignants.
