« Le point primordial pour bien concevoir le traitement des eaux de ruissellement et aider les concepteurs à y voir plus clair est de pouvoir bénéficier de données factuelles, vérifiables et répétables sur l’efficacité des appareils et solutions proposées, l’auto-déclaration ne suffit plus !, souligne Julien Pery, Responsable Développement chez Hydro International. Chez tous les pays voisins qui ont mis en œuvre des protocoles d’évaluation, l’adoption des technologies de traitement a été plus rapide et mieux déployée. De même, parler uniquement d’efficacité ne suffit plus, les ouvrages et systèmes doivent être plurifonctionnels pour répondre aux enjeux de la gestion par niveaux de services : traiter le ruissellement en niveau N1/N2 puis gérer les pics hydrauliques des pluies exceptionnelles, garantir le non-relargage et surtout permettre un entretien facile et rapide. De mauvaises habitudes sont à changer : un séparateur hydrocarbures a pour domaine d’emploi une station-service, le traitement doit se faire avant l’ouvrage de stockage et non après. C’est déjà dans la réglementation (Note du Setra 2008 / guide SAUL 2011 Memento Astee 2017). Les choses changent depuis que nos utilisateurs se rendent compte qu’avec le bon « outil », le poste « traitement » devient une source de simplification et d’économies, comme dans le cadre du projet de Basse Ham près de Metz (cf. photo) ou 7 décanteurs hydrodynamiques sont positionnés avant des SAUL pour permettre un tamponnement infiltration et quasi zéro rejet sur un aménagement de 65 Ha ! ».
« Tout comme la performance hydraulique, la performance mécanique des ouvrages est primordiale et ne devrait pas être dissociée, explique de son côté Hugues Julien, Chef de marché Collecte et Traitement de l’eau chez Stradal. La simplicité et la facilité de mise en œuvre sont indispensables pour une installation réussie d’un appareil de traitement. En restant dans un format connu de tous (le regard de visite), nous souhaitons simplifier et alléger les contraintes techniques de mise en œuvre rencontrées sur le terrain avec les solutions existantes en proposant une solution clef en main pour des coûts et des délais maîtrisés : plus de dalle d’ancrage et de répartition, moins d’emprise au sol et de volumes de fouilles titanesques, pas d’engins spéciaux de levage (une pelle de chantier classique suffit). Avec notre solution compacte préfabriquée en béton, l’ouvrage est circulable immédiatement en D400. De plus, il n’y a pas de décalage de fil d’eau entre l’entrée et la sortie et les diamètres de raccordement peuvent être faits sur mesure, pour permettre l’implantation de l’appareil sur un réseau existant et garantir l’étanchéité, même en présence de nappe phréatique ».
« Tout comme la performance hydraulique, la performance mécanique des ouvrages est primordiale et ne devrait pas être dissociée, explique de son côté Hugues Julien, Chef de marché Collecte et Traitement de l’eau chez Stradal. La simplicité et la facilité de mise en œuvre sont indispensables pour une installation réussie d’un appareil de traitement. En restant dans un format connu de tous (le regard de visite), nous souhaitons simplifier et alléger les contraintes techniques de mise en œuvre rencontrées sur le terrain avec les solutions existantes en proposant une solution clef en main pour des coûts et des délais maîtrisés : plus de dalle d’ancrage et de répartition, moins d’emprise au sol et de volumes de fouilles titanesques, pas d’engins spéciaux de levage (une pelle de chantier classique suffit). Avec notre solution compacte préfabriquée en béton, l’ouvrage est circulable immédiatement en D400. De plus, il n’y a pas de décalage de fil d’eau entre l’entrée et la sortie et les diamètres de raccordement peuvent être faits sur mesure, pour permettre l’implantation de l’appareil sur un réseau existant et garantir l’étanchéité, même en présence de nappe phréatique ».