Assisteaux, spécialisé dans la mise en route d'installations d'assainissement non collectif, travaille avec plusieurs industriels de l'ANC.
« Le but de ces mises en service est de contrôler, de valider les conditions de pose des ouvrages et de certifier leur bon démarrage, explique Serge Pascault, directeur d’Assisteaux. Nous comptons aujourd'hui 7.000 clients contractuels et effectuons un total de 23.000 interventions par an ». Lors de cette rencontre avec l'installateur et/ou le particulier, les techniciens d’Assisteaux informent leur interlocuteur de l'importance de l'entretien de la filière et remettent en mains propres les documents et consignes d'entretien. « Nous échangeons parfois avec les SPANC, “organe référent de la gestion de l'ANC pour une mairie ou une communauté de communes” qui valident les projets, contrôlent la réalisation et assurent ensuite un contrôle périodique tous les 10 ans. Au terme de ces contrôles, les SPANC peuvent imposer la réhabilitation de certaines installations. Face à l'ampleur de la tâche, certains SPANC ont fait le choix de nous confier les missions d'entretien et de maintenance des installations dont ils ont la charge ».
Certaines filières agréées sont relativement complexes, notamment celles équipées d’organes électromécaniques. Elles doivent être contrôlées au maximum tous les 2 ans afin de vérifier le bon fonctionnement des organes essentiels (pompe, membrane, piston, filtre…) et ainsi garantir le bon fonctionnement du couple débit-pression, et donc de la microstation. « Ce suivi nous permet également de contrôler les niveaux de boue, autant dans les fosses toutes eaux des filières traditionnelles normées à 50 %, que dans les décanteurs primaires de microstations normées à 30 % par arrêté ministériel ».
A l’inverse, le non-contrôle de ces installations peut entraîner un dysfonctionnement de la filière dans son ensemble : départ de boue dans les drains d'épandage jusqu'au colmatage. « Il est important de souligner aujourd'hui que les propriétaires des installations sont responsables du bon fonctionnement de leur ouvrage, souligne Serge Pascault. Les 48 % des particuliers qui ont fait le choix de nous confier l'entretien de leur installation dans le cadre d'un contrat ont la garantie d'une installation pérenne ».
« Le but de ces mises en service est de contrôler, de valider les conditions de pose des ouvrages et de certifier leur bon démarrage, explique Serge Pascault, directeur d’Assisteaux. Nous comptons aujourd'hui 7.000 clients contractuels et effectuons un total de 23.000 interventions par an ». Lors de cette rencontre avec l'installateur et/ou le particulier, les techniciens d’Assisteaux informent leur interlocuteur de l'importance de l'entretien de la filière et remettent en mains propres les documents et consignes d'entretien. « Nous échangeons parfois avec les SPANC, “organe référent de la gestion de l'ANC pour une mairie ou une communauté de communes” qui valident les projets, contrôlent la réalisation et assurent ensuite un contrôle périodique tous les 10 ans. Au terme de ces contrôles, les SPANC peuvent imposer la réhabilitation de certaines installations. Face à l'ampleur de la tâche, certains SPANC ont fait le choix de nous confier les missions d'entretien et de maintenance des installations dont ils ont la charge ».
Certaines filières agréées sont relativement complexes, notamment celles équipées d’organes électromécaniques. Elles doivent être contrôlées au maximum tous les 2 ans afin de vérifier le bon fonctionnement des organes essentiels (pompe, membrane, piston, filtre…) et ainsi garantir le bon fonctionnement du couple débit-pression, et donc de la microstation. « Ce suivi nous permet également de contrôler les niveaux de boue, autant dans les fosses toutes eaux des filières traditionnelles normées à 50 %, que dans les décanteurs primaires de microstations normées à 30 % par arrêté ministériel ».
A l’inverse, le non-contrôle de ces installations peut entraîner un dysfonctionnement de la filière dans son ensemble : départ de boue dans les drains d'épandage jusqu'au colmatage. « Il est important de souligner aujourd'hui que les propriétaires des installations sont responsables du bon fonctionnement de leur ouvrage, souligne Serge Pascault. Les 48 % des particuliers qui ont fait le choix de nous confier l'entretien de leur installation dans le cadre d'un contrat ont la garantie d'une installation pérenne ».