MPC UV est une société spécialisée dans l’utilisation des UV pour la désinfection des eaux de process et des eaux industrielles avec notamment l’utilisation de l’Oxydation Avancée (AOP) UV+H2O2 pour le traitement des effluents industriels et la dégradation de la DCO et des substances dangereuses.
La technologie AOP UV+H2O2 consiste en l’utilisation conjointe de réacteurs UV forte puissance (Plusieurs KiloWatts) avec l’injection de H2O2 (Peroxyde d’hydrogène) qui va permettre de générer des radicaux libres OH° très oxydants (supérieur à l’ozone), lesquels vont être capables de dégrader la charge organique contenue dans l’effluent.
Le savoir-faire de l’entreprise réside dans la bonne mise en œuvre de cette technologie avec des réacteurs UV fiables et performants mais aussi à optimiser la création des radicaux libres OH° et ce avec des conditions opératoires adaptées et en adéquation avec les matrices chimiques des effluents traités.
« Comme pour tout procédé de traitement et de destruction de la charge organique, il est important de bien identifier les flux et de définir lesquels sont les plus participatifs à la charge présente dans l’effluent, explique Stéphane Menard, directeur de MPC UV. Il est ensuite plus pertinent de se focaliser sur les flux les plus chargés et donc de travailler sur des volumes/débits plus faibles mais fortement chargés ». Néanmoins, la technologie AOP de MPC UV permet de travailler sur des gammes de charges DCO et de débits très larges.
L’entreprise traite ainsi des débits de quelques centaines de litres par jour à plusieurs m3 par heure et ce avec des charges organiques en DCO pouvant aller de quelques centaines de milligrammes à plusieurs dizaines de grammes par litre. Elle propose d’ailleurs des essais laboratoires qui peuvent permettre dans un premier temps, d’identifier les flux et de voir leur réactivité au procédé AOP H2O2 et ainsi de définir quels seront ceux à privilégier dans le traitement et l’installation AOP à venir. Dans un second temps, sur le ou les flux identifiés, de réaliser des essais de dégradation de la DCO et/ou de substances dangereuses et ensuite de pouvoir dimensionner une installation industrielle correspondant au cahier des charges donné par le client (charge organique en entrée, objectif de charge organique en sortie, le débit à traiter par heure ou par jour, etc..) et ce avec des valeurs de CAPEX et d’OPEX qui pourront être garanties le cas échéant.
La technologie AOP UV+H2O2 consiste en l’utilisation conjointe de réacteurs UV forte puissance (Plusieurs KiloWatts) avec l’injection de H2O2 (Peroxyde d’hydrogène) qui va permettre de générer des radicaux libres OH° très oxydants (supérieur à l’ozone), lesquels vont être capables de dégrader la charge organique contenue dans l’effluent.
Le savoir-faire de l’entreprise réside dans la bonne mise en œuvre de cette technologie avec des réacteurs UV fiables et performants mais aussi à optimiser la création des radicaux libres OH° et ce avec des conditions opératoires adaptées et en adéquation avec les matrices chimiques des effluents traités.
« Comme pour tout procédé de traitement et de destruction de la charge organique, il est important de bien identifier les flux et de définir lesquels sont les plus participatifs à la charge présente dans l’effluent, explique Stéphane Menard, directeur de MPC UV. Il est ensuite plus pertinent de se focaliser sur les flux les plus chargés et donc de travailler sur des volumes/débits plus faibles mais fortement chargés ». Néanmoins, la technologie AOP de MPC UV permet de travailler sur des gammes de charges DCO et de débits très larges.
L’entreprise traite ainsi des débits de quelques centaines de litres par jour à plusieurs m3 par heure et ce avec des charges organiques en DCO pouvant aller de quelques centaines de milligrammes à plusieurs dizaines de grammes par litre. Elle propose d’ailleurs des essais laboratoires qui peuvent permettre dans un premier temps, d’identifier les flux et de voir leur réactivité au procédé AOP H2O2 et ainsi de définir quels seront ceux à privilégier dans le traitement et l’installation AOP à venir. Dans un second temps, sur le ou les flux identifiés, de réaliser des essais de dégradation de la DCO et/ou de substances dangereuses et ensuite de pouvoir dimensionner une installation industrielle correspondant au cahier des charges donné par le client (charge organique en entrée, objectif de charge organique en sortie, le débit à traiter par heure ou par jour, etc..) et ce avec des valeurs de CAPEX et d’OPEX qui pourront être garanties le cas échéant.