Le Cluster Lot et Garonnais Eau et Adaptation au Changement Climatique (https://www.eau-climat.com/) a positionné, dans sa feuille de route, l’objectif de promouvoir des projets et des solutions adressant la problématique de la climatisation durable des villes.
Ces solutions, basées sur l’eau et le végétal, doivent permettre de rafraîchir et climatiser les villes de façon naturelle et durable, dans le but de préserver le confort et la santé des populations vis-à-vis des excès du climat.
L’Institut de la Filtration et des Technique Séparatives (IFTS) à Agen, qui a pris une part active dans la gestion et les travaux du Cluster Eau et Climat dès sa création en 2014, a mis sur pied le projet MARTEAU (pour Mobilisation Alternative des Ressources Territoriales en EAU usée), labellisé par le Cluster Eau et Climat et financé en partie par la Région Nouvelle Aquitaine et par les fonds FEDER européens.
Ce projet, doit permettre de créer un site national d’expérimentation de la réutilisation des eaux usées à d’autres usages que l’irrigation et donner à la communauté et à l’administration Française de l’eau de nouveaux outils de décision pour faire évoluer la réglementation et les pratiques, tant architecturales, que d’aménagement du territoire.
Le projet MARTEAU propose d’évaluer l’adéquation entre une ressource en eau usée et un usage donné qui puisse permettre de créer des « ilots de fraîcheurs » dans les villes. Les données de sortie du projet doivent permettre d’établir la qualité d’eau requise de la ressource en eau usée pouvant être qualifiée pour l’usage considéré. L’expérimentation de divers traitements pour aboutir à la qualité d’eau d’usage fait partie du projet tout comme l’élaboration des performances des solutions proposée faisant usage de l’eau ainsi traitée pour le rafraîchissement urbain. Parmi les destinations, le ré-enfouissement des eaux dans la nappe est bien sûr considéré.
Les eaux urbaines de ruissellement font partie naturellement des ressources en eaux usées étudiées et les concepts d’avaloirs dits « dépolluants », que l’IFTS a particulièrement étudié dans le passé et décrits en partie dans cet article, sont autant de candidats à l’expérimentation.
Vincent Edery, IFTS
Ces solutions, basées sur l’eau et le végétal, doivent permettre de rafraîchir et climatiser les villes de façon naturelle et durable, dans le but de préserver le confort et la santé des populations vis-à-vis des excès du climat.
L’Institut de la Filtration et des Technique Séparatives (IFTS) à Agen, qui a pris une part active dans la gestion et les travaux du Cluster Eau et Climat dès sa création en 2014, a mis sur pied le projet MARTEAU (pour Mobilisation Alternative des Ressources Territoriales en EAU usée), labellisé par le Cluster Eau et Climat et financé en partie par la Région Nouvelle Aquitaine et par les fonds FEDER européens.
Ce projet, doit permettre de créer un site national d’expérimentation de la réutilisation des eaux usées à d’autres usages que l’irrigation et donner à la communauté et à l’administration Française de l’eau de nouveaux outils de décision pour faire évoluer la réglementation et les pratiques, tant architecturales, que d’aménagement du territoire.
Le projet MARTEAU propose d’évaluer l’adéquation entre une ressource en eau usée et un usage donné qui puisse permettre de créer des « ilots de fraîcheurs » dans les villes. Les données de sortie du projet doivent permettre d’établir la qualité d’eau requise de la ressource en eau usée pouvant être qualifiée pour l’usage considéré. L’expérimentation de divers traitements pour aboutir à la qualité d’eau d’usage fait partie du projet tout comme l’élaboration des performances des solutions proposée faisant usage de l’eau ainsi traitée pour le rafraîchissement urbain. Parmi les destinations, le ré-enfouissement des eaux dans la nappe est bien sûr considéré.
Les eaux urbaines de ruissellement font partie naturellement des ressources en eaux usées étudiées et les concepts d’avaloirs dits « dépolluants », que l’IFTS a particulièrement étudié dans le passé et décrits en partie dans cet article, sont autant de candidats à l’expérimentation.
Vincent Edery, IFTS