Les ressources en eau potable sont de plus en plus sollicitées. En effet, les dérégulations climatiques génèrent des épisodes avec des pluviométries anormalement élevées suivis de sécheresses particulièrement prononcées. Ces événements marqués génèrent des difficultés pour la potabilisation de l’eau. Le traitement des microorganismes est d’ailleurs largement impacté par cette variabilité de la ressource. Le traitement par les biocides est complexifié de par la variabilité de la qualité ainsi que la robustesse accrue de certaines souches microbiennes.
Le traitement par UV étant un procédé physique, il ne connaît ni résistance ni surdosage. Il est donc particulièrement agile. C’est un atout indéniable pour faire face aux conditions de plus en plus dégradées des ressources que connaissent les exploitants.
La mise en place de réacteurs UV sur les stations d’eau potable, intervient généralement en fin de traitement physico-chimique. Il permet de détruire à plus de 99,99 % les bactéries, virus et protozoaires présent dans les eaux. L’utilisation de biocides peut être maintenu afin d’assurer une rémanence dans le réseau de distribution. Toutefois, les quantités de produits chimiques utilisées sont nettement réduites, on parle alors de microdosage dans les eaux, ce qui réduit les risques et les gênes.
Dans des pays voisins de la France, le traitement de l’eau potable est effectué par oxydation avancée. Ce procédé à base de rayonnement UV et d’un catalyseur, permet, en plus de la désinfection traditionnelle, de détruire les micropolluants dont les perturbateurs endocriniens. Ces molécules anthropiques à demi-vie particulièrement longues par essence, se concentrent de plus en plus dans les eaux potables. Leurs effets se ressentent sur la faune et se pressentent sur l’homme. Il est donc urgent que la réglementation française évolue, afin de permettre la mise en place de ce procédé innovant et performant dans notre pays.
Willy Fortunato,
Directeur Commercial, UV GERMI
Le traitement par UV étant un procédé physique, il ne connaît ni résistance ni surdosage. Il est donc particulièrement agile. C’est un atout indéniable pour faire face aux conditions de plus en plus dégradées des ressources que connaissent les exploitants.
La mise en place de réacteurs UV sur les stations d’eau potable, intervient généralement en fin de traitement physico-chimique. Il permet de détruire à plus de 99,99 % les bactéries, virus et protozoaires présent dans les eaux. L’utilisation de biocides peut être maintenu afin d’assurer une rémanence dans le réseau de distribution. Toutefois, les quantités de produits chimiques utilisées sont nettement réduites, on parle alors de microdosage dans les eaux, ce qui réduit les risques et les gênes.
Dans des pays voisins de la France, le traitement de l’eau potable est effectué par oxydation avancée. Ce procédé à base de rayonnement UV et d’un catalyseur, permet, en plus de la désinfection traditionnelle, de détruire les micropolluants dont les perturbateurs endocriniens. Ces molécules anthropiques à demi-vie particulièrement longues par essence, se concentrent de plus en plus dans les eaux potables. Leurs effets se ressentent sur la faune et se pressentent sur l’homme. Il est donc urgent que la réglementation française évolue, afin de permettre la mise en place de ce procédé innovant et performant dans notre pays.
Willy Fortunato,
Directeur Commercial, UV GERMI
