Certaines situations nécessitent la mise en place de solutions de traitement temporaires. L’urgence peut être brutale en raison de catastrophes, d’accidents ou de pannes. L’indisponibilité momentanée est parfois planifiable quand il s’agit de réaliser des opérations d’entretien ou de rénovation d’équipements. Les opérations de déshydratation mécanique des boues n’échappent pas à ce type de besoins. C’est la raison pour laquelle MPO Environnement a développé un service de location d’unités mobiles de déshydratation reposant sur un équipement qui a le vent en poupe : la presse à vis. « Nous avons choisi la presse à vis car le marché regorge de solutions à base de centrifugeuses ou de filtres-presse alors même que la transition énergétique impose de mettre en place des équipements plus sobres au plan énergétique, simples à faire fonctionner et faciles à maintenir », explique Benoit Meyer, Président de MPO Environnement.
Pour quelques jours ou plusieurs mois, MPO Environnement livre et installe sur site une presse à vis prête à fonctionner et forme le personnel chargé de son exploitation. « La mise en place dure moins d’une heure et ne nécessite qu’une aire d’une dizaine de m², une source d’énergie, une prise d’eau et un point de rejet pour le filtrat », explique Christophe Pierrel, Directeur Général de MPO Environnement.
La presse à vis, logée dans un container normalisé, repose sur une machine de type Rotamat Q de Huber (54 à 137 kg MS/h) spécialement aménagée pour la mobilité et pour simplifier l’exploitation tout en limitant les interventions humaines. « Elle intègre par exemple un dispositif de télésurveillance à distance qui permet de veiller au bon déroulement du process ainsi qu’un système de répartition des boues dans la benne spécialement développé par MPO pour éviter toute manipulation liée à l’étalement des boues déshydratées dans la benne », souligne Christophe Pierrel.
Bien quelle soit étudiée pour pouvoir équiper les stations d’épuration jusqu’à 15.000 EH, la solution développée par MPO Environnement s’adresse prioritairement aux STEP de moins de 3.000 EH pour lesquelles il s’avère souvent trop coûteux d’investir dans un équipement à poste fixe. Le regroupement de plusieurs collectivités pour l’exploitation d’une seule unité mobile permet, grâce à une mutualisation des coûts, une déshydratation au moindre coût. Grâce à sa faible consommation électrique, mêmes les stations les plus modestes sont concernées, sans qu’il soit nécessaire de faire appel à un groupe électrogène.
La mise en place d’une solution de ce type est également l’occasion de réévaluer le process de déshydratation en profitant de l’expertise des spécialistes de MPO pour procéder aux ajustements nécessaires pour atteindre les taux de siccité atteints par l’équipement sur des sites comparables, « de 17 à 23 % » en foncrtion des cas, selon Benoit Meyer. « On néglige trop souvent l’impact, en amont, de la filière eau sur les boues, explique-t-il. Les performances en matière de déshydratation sont toujours, pour partie, directement liées à la filière eau, et le plus souvent au type de traitement de l’azote et du phosphore, explique-t-il. Négliger les bonnes pratiques peut représenter une perte de plus de 5 points de siccité ».
Pour quelques jours ou plusieurs mois, MPO Environnement livre et installe sur site une presse à vis prête à fonctionner et forme le personnel chargé de son exploitation. « La mise en place dure moins d’une heure et ne nécessite qu’une aire d’une dizaine de m², une source d’énergie, une prise d’eau et un point de rejet pour le filtrat », explique Christophe Pierrel, Directeur Général de MPO Environnement.
La presse à vis, logée dans un container normalisé, repose sur une machine de type Rotamat Q de Huber (54 à 137 kg MS/h) spécialement aménagée pour la mobilité et pour simplifier l’exploitation tout en limitant les interventions humaines. « Elle intègre par exemple un dispositif de télésurveillance à distance qui permet de veiller au bon déroulement du process ainsi qu’un système de répartition des boues dans la benne spécialement développé par MPO pour éviter toute manipulation liée à l’étalement des boues déshydratées dans la benne », souligne Christophe Pierrel.
Bien quelle soit étudiée pour pouvoir équiper les stations d’épuration jusqu’à 15.000 EH, la solution développée par MPO Environnement s’adresse prioritairement aux STEP de moins de 3.000 EH pour lesquelles il s’avère souvent trop coûteux d’investir dans un équipement à poste fixe. Le regroupement de plusieurs collectivités pour l’exploitation d’une seule unité mobile permet, grâce à une mutualisation des coûts, une déshydratation au moindre coût. Grâce à sa faible consommation électrique, mêmes les stations les plus modestes sont concernées, sans qu’il soit nécessaire de faire appel à un groupe électrogène.
La mise en place d’une solution de ce type est également l’occasion de réévaluer le process de déshydratation en profitant de l’expertise des spécialistes de MPO pour procéder aux ajustements nécessaires pour atteindre les taux de siccité atteints par l’équipement sur des sites comparables, « de 17 à 23 % » en foncrtion des cas, selon Benoit Meyer. « On néglige trop souvent l’impact, en amont, de la filière eau sur les boues, explique-t-il. Les performances en matière de déshydratation sont toujours, pour partie, directement liées à la filière eau, et le plus souvent au type de traitement de l’azote et du phosphore, explique-t-il. Négliger les bonnes pratiques peut représenter une perte de plus de 5 points de siccité ».