En complément des bactéries « standards » type coliformes, entérocoques, les bactéries type protozoaires entériques telles que la Cryptosporidium et Giarda sont recherchées. Ces organismes sont connus pour être responsables de nombreuses maladies telle que la malaria et certaines dysenteries, telle l'amibiase. Les personnes infectées par Cryptosporidium risquent davantage d'être atteintes d'une maladie symptomatique que celles infectées par Giardia. Les symptômes comprennent une diarrhée aqueuse, des crampes, des nausées, des vomissements (particulièrement chez les enfants), une fièvre légère, une anorexie et une déshydratation.
En cas de présence de protozoaires entériques, un traitement UV-C est généralement préconisé. En effet, contrairement aux autres traitements de désinfection, le traitement agit immédiatement et irréversiblement sur celles-ci quand la chloration et l’ozonation nécessitent un surdosage pour agir efficacement.
Parmi les différentes solutions disponibles sur le marché, BIO-UV a développé une gamme de réacteurs pour répondre aux besoins de la production d’eau potable. Ils permettent de désinfecter l’eau brute et de garantir le respect des limites de qualité bactériologique de l’eau suivant les normes en vigueur, avant distribution dans les réseaux AEP. La gamme DW est certifiée ACS UV en application de l’article R*.1321-50 (I et II) du code de la santé publique, conformément aux conditions de mise sur le marché et d’emploi des réacteurs équipés de lampes à rayonnements ultraviolets utilisés pour le traitement d’eau destinée à la consommation humaine défini par le Ministère de la Santé (Arrêté ministériel du 9 octobre 2012).
Une bonne illustration de ce que peuvent apporter les UV est donnée par la ville de Mulhouse qui, pour des raisons de sécurité, a été contrainte, à partir de 2011, de traiter leurs réseaux d’eau avec du chlore (l’ARS imposait la présence d’un traitement préventif et continu). Le syndicat des eaux de la ville a voulu rapidement mettre en place une solution alternative. En effet, désireux de distribuer à nouveau aux abonnés une eau sans produit chimique, la solution par rayonnement ultraviolet s’est imposée. Suite à l’obtention des résultats répondant à leurs attentes sur un 1er puits équipé en 2015 (site de Reiningue), la ville de Mulhouse a décidé de généraliser ce traitement à tous les captages (2 autres puits à 240 m3/h unitaire et 4 autres puits à 450 m3/h unitaire). L’inauguration des installations à rayonnement UV-C a été faite en février 2019. Le syndicat des eaux a opté pour des réacteurs UV-C équipés de lampes basse pression et agrées ACS UV conformément à la réglementation française en vigueur depuis 2013.
En cas de présence de protozoaires entériques, un traitement UV-C est généralement préconisé. En effet, contrairement aux autres traitements de désinfection, le traitement agit immédiatement et irréversiblement sur celles-ci quand la chloration et l’ozonation nécessitent un surdosage pour agir efficacement.
Parmi les différentes solutions disponibles sur le marché, BIO-UV a développé une gamme de réacteurs pour répondre aux besoins de la production d’eau potable. Ils permettent de désinfecter l’eau brute et de garantir le respect des limites de qualité bactériologique de l’eau suivant les normes en vigueur, avant distribution dans les réseaux AEP. La gamme DW est certifiée ACS UV en application de l’article R*.1321-50 (I et II) du code de la santé publique, conformément aux conditions de mise sur le marché et d’emploi des réacteurs équipés de lampes à rayonnements ultraviolets utilisés pour le traitement d’eau destinée à la consommation humaine défini par le Ministère de la Santé (Arrêté ministériel du 9 octobre 2012).
Une bonne illustration de ce que peuvent apporter les UV est donnée par la ville de Mulhouse qui, pour des raisons de sécurité, a été contrainte, à partir de 2011, de traiter leurs réseaux d’eau avec du chlore (l’ARS imposait la présence d’un traitement préventif et continu). Le syndicat des eaux de la ville a voulu rapidement mettre en place une solution alternative. En effet, désireux de distribuer à nouveau aux abonnés une eau sans produit chimique, la solution par rayonnement ultraviolet s’est imposée. Suite à l’obtention des résultats répondant à leurs attentes sur un 1er puits équipé en 2015 (site de Reiningue), la ville de Mulhouse a décidé de généraliser ce traitement à tous les captages (2 autres puits à 240 m3/h unitaire et 4 autres puits à 450 m3/h unitaire). L’inauguration des installations à rayonnement UV-C a été faite en février 2019. Le syndicat des eaux a opté pour des réacteurs UV-C équipés de lampes basse pression et agrées ACS UV conformément à la réglementation française en vigueur depuis 2013.
