Le baromètre du CIEau indique que 20 % des insatisfaits le sont par inquiétude sur la qualité de l’eau. « C’est la question la plus difficile à cerner. Ayant entendu parler de polluants émergents, perturbateurs endocriniens, résidus médicamenteux, microplastiques, microfibres, nitrates, perchlorates… les consommateurs s’inquiètent, à tort ou à raison, pour la qualité sanitaire de l’eau » explique Xavier Guivarch, chez Suez. Il ne s’agit pas à proprement parler de qualité perçue puisque ces polluants sont indiscernables, mais les abonnés, de plus en plus « informés », s’en préoccupent.
Eau de Paris vient pour cela de lancer un appel d’offre pour moderniser son usine d’Orly, qui traite les eaux de la Seine. De nouveaux réacteurs à charbon actif, installés sur la moitié du débit de l’usine (soit 150 000 m3/jour), traiteront spécifiquement ces polluants émergents. Jean-Michel Epenan, cite aussi cette inquiétude émergente pour expliquer le fait que Polymem se prépare à distribuer une gamme de membranes de nanofiltration et d’osmose inverse. C’est également pour répondre à cette question – et à la réglementation qui ne saurait manquer d’arriver – que le Sedif envisage l’installation de membranes d’osmose inverse dans ses usines.
Dans certain cas, il peut se révéler rentable de retirer les contaminants de manière simultanée, avec une résine à usage unique ou régénérable. Par exemple, le nitrate et l’arsenic ou le nitrate et l’uranium peuvent apparaître ensemble. Purolite propose des résines avec une approche de type multi-contaminants ou en combinaison variée pour éliminer les nitrates, isotopes naturelles, l’arsenic, TOC et les perchlorates.
Eau de Paris vient pour cela de lancer un appel d’offre pour moderniser son usine d’Orly, qui traite les eaux de la Seine. De nouveaux réacteurs à charbon actif, installés sur la moitié du débit de l’usine (soit 150 000 m3/jour), traiteront spécifiquement ces polluants émergents. Jean-Michel Epenan, cite aussi cette inquiétude émergente pour expliquer le fait que Polymem se prépare à distribuer une gamme de membranes de nanofiltration et d’osmose inverse. C’est également pour répondre à cette question – et à la réglementation qui ne saurait manquer d’arriver – que le Sedif envisage l’installation de membranes d’osmose inverse dans ses usines.
Dans certain cas, il peut se révéler rentable de retirer les contaminants de manière simultanée, avec une résine à usage unique ou régénérable. Par exemple, le nitrate et l’arsenic ou le nitrate et l’uranium peuvent apparaître ensemble. Purolite propose des résines avec une approche de type multi-contaminants ou en combinaison variée pour éliminer les nitrates, isotopes naturelles, l’arsenic, TOC et les perchlorates.