Depuis plus de 40 ans, la société Procath, implantée à Mulhouse, fournit une solution anticorrosion adaptée aux différents ouvrages métalliques en fournissant et en installant des dispositifs de protection cathodique sur-mesure (production 100 % française). L’un de ses domaines d’application concerne les filtres acier des piscines publiques. « Nous garantissons à ce jour plus de 1.300 filtres répartis sur environ 300 piscines ou centres aquatiques en France, dont les plus anciens comptent plus de 40 années d’exploitation, souligne Daniel Koessler, Président de Procath. La solution de filtres acier avec protection cathodique reste une solution robuste pour pérenniser les équipements. En effet, ces filtres sont compatibles avec toutes les masses filtrantes (granulés de verre, hydroanthracite, sable, charbon actif s’il est nécessaire de neutraliser de l’ozone). L’exploitation de ces filtres reste très simple et une bonne maîtrise des cycles de lavage (sans ajout de produit) en adéquation avec la fréquentation de la piscine permet d’obtenir des coûts d’exploitation optimaux ».
En livrant une soixantaine de filtres neufs chaque année, Procath montre que ce choix technique reste une solution satisfaisante et reconnue. « Dans un contexte où l’on construit des projets sur plusieurs décennies (type CREM : "marchés de Conception, Réalisation, Exploitation/Maintenance"), il est important d’appréhender tous les investissements sur la période prévue, et pas uniquement ceux au départ du projet, rappelle Daniel Koessler. Le remplacement de filtres en cours d'exploitation nécessite en effet plusieurs semaines d'arrêt technique, ce qui est en général problématique vis-à-vis des usagers tout en représentant un budget très élevé pour la collectivité ».
En livrant une soixantaine de filtres neufs chaque année, Procath montre que ce choix technique reste une solution satisfaisante et reconnue. « Dans un contexte où l’on construit des projets sur plusieurs décennies (type CREM : "marchés de Conception, Réalisation, Exploitation/Maintenance"), il est important d’appréhender tous les investissements sur la période prévue, et pas uniquement ceux au départ du projet, rappelle Daniel Koessler. Le remplacement de filtres en cours d'exploitation nécessite en effet plusieurs semaines d'arrêt technique, ce qui est en général problématique vis-à-vis des usagers tout en représentant un budget très élevé pour la collectivité ».