Pour parvenir à faire baisser les niveaux de phosphore dans les eaux entrantes dans la station de traitement des eaux usées de Riepe en Allemagne, les exploitants ont eu recours à la coagulation chimique, un procédé qui permet de convertir les phosphates dans l'eau en un composé insoluble susceptible d’être isolé.
Jusqu'à maintenant, une pompe à membrane acheminait le coagulant depuis des conteneurs de stockage souterrains vers la cuve de rétention, le dosage étant assuré par deux autres pompes à membrane, l'une en utilisation permanente, l’autre en secours, en cas de panne. Celles-ci survenant de plus en plus régulièrement, la membrane des pompes étant attaquée par les coagulants chimiques corrosifs. « Les pompes à membrane produisaient également un flux fortement pulsatoire qui, au bout d'un moment, entraînait l'usure des raccords et des clapets, explique M. Janssen, directeur du site. La maintenance nécessitait plusieurs heures de travail chaque mois. Nous devions, par ailleurs, stocker toute une gamme de pièces détachées, y compris des membranes et des clapets ».
L'autre problème posé par les pompes à membrane était l'aspiration : de l'air était aspiré à l'intérieur, risquant de bloquer les clapets et donc d'empêcher les pompes à membrane de s'amorcer et de fonctionner. Par conséquent, le taux de phosphore libéré par le site augmentait, nécessitant parfois d'alerter les autorités compétentes.
Le problème se produisant le plus souvent après le réapprovisionnement du stock de coagulant, il devenait nécessaire d'inonder manuellement les lignes de dosage de produit chimique avec de l'eau afin de permettre aux pompes à membrane de fonctionner.
La pompe péristaltique Watson-Marlow Qdos 30, implantée sur ce site, fonctionne à un débit de 150 ml/min, mais elle a été conçue pour soutenir un débit maximum de 500 ml/min, plus qu'il n'en faut lorsque les niveaux de phosphate sont élevés. La seule pompe Qdos étant capable d'extraire le chlorure de fer (III) directement de la cuve de stockage, la présence d'une pompe de rétention, d'une pompe de secours, d'une cuve de rétention, de contacteurs et d'autres composants électroniques, est désormais inutile.
« La précision des pompes à membrane déclinait au fur et à mesure de l'apparition de corrosion et de l'usure des membranes, tandis que la pompe Qdos est extrêmement précise, ce qui nous permet également d'espacer considérablement les recalibrations », souligne M. Janssen qui estime que la pompe Qdos a permis un gain de temps de l'ordre de deux à cinq heures par mois. « Avec l'allègement de cette charge de travail et les économies réalisées en termes de pièces détachées, l'investissement a très rapidement été amorti ».
Jusqu'à maintenant, une pompe à membrane acheminait le coagulant depuis des conteneurs de stockage souterrains vers la cuve de rétention, le dosage étant assuré par deux autres pompes à membrane, l'une en utilisation permanente, l’autre en secours, en cas de panne. Celles-ci survenant de plus en plus régulièrement, la membrane des pompes étant attaquée par les coagulants chimiques corrosifs. « Les pompes à membrane produisaient également un flux fortement pulsatoire qui, au bout d'un moment, entraînait l'usure des raccords et des clapets, explique M. Janssen, directeur du site. La maintenance nécessitait plusieurs heures de travail chaque mois. Nous devions, par ailleurs, stocker toute une gamme de pièces détachées, y compris des membranes et des clapets ».
L'autre problème posé par les pompes à membrane était l'aspiration : de l'air était aspiré à l'intérieur, risquant de bloquer les clapets et donc d'empêcher les pompes à membrane de s'amorcer et de fonctionner. Par conséquent, le taux de phosphore libéré par le site augmentait, nécessitant parfois d'alerter les autorités compétentes.
Le problème se produisant le plus souvent après le réapprovisionnement du stock de coagulant, il devenait nécessaire d'inonder manuellement les lignes de dosage de produit chimique avec de l'eau afin de permettre aux pompes à membrane de fonctionner.
La pompe péristaltique Watson-Marlow Qdos 30, implantée sur ce site, fonctionne à un débit de 150 ml/min, mais elle a été conçue pour soutenir un débit maximum de 500 ml/min, plus qu'il n'en faut lorsque les niveaux de phosphate sont élevés. La seule pompe Qdos étant capable d'extraire le chlorure de fer (III) directement de la cuve de stockage, la présence d'une pompe de rétention, d'une pompe de secours, d'une cuve de rétention, de contacteurs et d'autres composants électroniques, est désormais inutile.
« La précision des pompes à membrane déclinait au fur et à mesure de l'apparition de corrosion et de l'usure des membranes, tandis que la pompe Qdos est extrêmement précise, ce qui nous permet également d'espacer considérablement les recalibrations », souligne M. Janssen qui estime que la pompe Qdos a permis un gain de temps de l'ordre de deux à cinq heures par mois. « Avec l'allègement de cette charge de travail et les économies réalisées en termes de pièces détachées, l'investissement a très rapidement été amorti ».