Spécialiste des métiers de l’assainissement, Ortec Environnement assure la maintenance préventive et curative de tous types de réseaux, mettant à disposition de ses clients son expertise en matière de rénovation de canalisations. Pour l'entreprise, la technique par chemisage utilisée dans la rénovation de canalisations d’assainissement, est une solution innovante qui permet de lui redonner un état et des fonctions voisins des facultés d’origine sans ouverture, destruction ni impact sur le terrain. « L’opération peut porter sur la structure, l'étanchéité, l'écoulement, la corrosion ou l'abrasion, souligne-t-on chez Ortec Environnement. Si traditionnellement, la solution de réparation des réseaux la plus employée passe par une ouverture classique, les avantages d’une intervention sans tranchée sont multiples ».
La possibilité de réaliser une opération de chemisage dans la journée par des accès normalisés (regards de visite), diminue par voie de conséquence les risques professionnels et notamment d’accidents (effondrements, croisements de réseaux, etc). La diminution du nombre d'intervenants limite le risque d'accident du facteur coactivité et la diminution du temps nécessaire entraîne mécaniquement une diminution du temps de présence du personnel sur site.
Outre la diminution des risques en termes de sécurité, la réhabilitation sans tranchée revêt également un intérêt en termes de maîtrise des coûts de réalisation. En effet, l’intervention de regard à regard évite la prise en compte dans l’étude de chantier de la plupart des éléments de surface tels les bâtiments, les routes, les voies ferrées etc. La réactivité s’en retrouve également favorablement impactée.
Par ailleurs, et comparé à un chantier traditionnel, le chemisage assure de fait une réduction de l'impact environnemental et des nuisances sonores. « Ainsi, par exemple, il n’est nullement besoin de prévoir un apport ou extrait de remblai, une utilisation nombreuse d’engins de chantier mécaniques ni d’organiser un plan de circulation sur site, souligne l'entreprise. Seuls trois véhicules s’avèrent utiles lors d’un chantier de réhabilitation sans tranchée ».
L’absence de tranchée sur la voie publique (routes, trottoirs, passages piétons, surfaces sur réseaux, etc.) favorise la conservation de son accès habituel par le public et ne nécessite donc pas de limitations aux passants et aux véhicules. En ce qui concerne les réseaux, les eaux d’usage sont stockées ou by-passées le temps des travaux, pour une remise en service dès la fin de l’opération.
La possibilité de réaliser une opération de chemisage dans la journée par des accès normalisés (regards de visite), diminue par voie de conséquence les risques professionnels et notamment d’accidents (effondrements, croisements de réseaux, etc). La diminution du nombre d'intervenants limite le risque d'accident du facteur coactivité et la diminution du temps nécessaire entraîne mécaniquement une diminution du temps de présence du personnel sur site.
Outre la diminution des risques en termes de sécurité, la réhabilitation sans tranchée revêt également un intérêt en termes de maîtrise des coûts de réalisation. En effet, l’intervention de regard à regard évite la prise en compte dans l’étude de chantier de la plupart des éléments de surface tels les bâtiments, les routes, les voies ferrées etc. La réactivité s’en retrouve également favorablement impactée.
Par ailleurs, et comparé à un chantier traditionnel, le chemisage assure de fait une réduction de l'impact environnemental et des nuisances sonores. « Ainsi, par exemple, il n’est nullement besoin de prévoir un apport ou extrait de remblai, une utilisation nombreuse d’engins de chantier mécaniques ni d’organiser un plan de circulation sur site, souligne l'entreprise. Seuls trois véhicules s’avèrent utiles lors d’un chantier de réhabilitation sans tranchée ».
L’absence de tranchée sur la voie publique (routes, trottoirs, passages piétons, surfaces sur réseaux, etc.) favorise la conservation de son accès habituel par le public et ne nécessite donc pas de limitations aux passants et aux véhicules. En ce qui concerne les réseaux, les eaux d’usage sont stockées ou by-passées le temps des travaux, pour une remise en service dès la fin de l’opération.