Riche de son expérience en gestion et traitement des eaux pluviales en milieu urbain et industriel, Saint Dizier environnement a développé une méthodologie d’étude basée sur trois étapes.
La première consiste en une analyse approfondie de l’application visée, qui repose sur ses réalisations et leur suivi en R&D, mais également sur un mode opératoire d’évaluation de la décantabilité des matières en suspension reposant sur le protocole VICAS. « Ce protocole permet d’établir une courbe de l’abattement des MES en fonction de leur vitesse de chute, critère dimensionnel le plus important pour tout projet de décantation lamellaire », explique Jean-Yves Viau, Directeur opérationnel chez Saint Dizier environnement.
La seconde repose sur une évaluation des concentrations et flux en polluants, et donc des abattements à retenir, qui permet de définir la filière de traitement au plus juste, que ce soit par décantation, déshuilage ou filtration avec absorption ou adsorption. « Cette étape permet également de définir les volumes de polluants interceptés et les moyens les plus adaptés pour la maintenance et l’exploitation des ouvrages » précise Jean-Yves Viau.
La définition des ouvrages sur le plan hydraulique (gestion des débits et des volumes) et sur le traitement à partir de gammes standardisées ou sur mesure constitue la troisième étape.
« Nous avons plusieurs gammes d’ouvrages de prétraitement (débourbeurs et séparateurs de liquides légers IHDC, certifiés NF pour des tailles nominales jusqu’à 500) et de traitement des eaux pour répondre à des projets de toute surface de bassin versant, souligne Jean-Yves Viau. Pour une gestion des eaux pluviales à l’échelle de l’avaloir, le STOPPOL®, modèle certifié par l’organisme IKT en Allemagne, permet de traiter des surfaces imperméabilisées inférieures à 1.000 m². Au-delà, nous avons des gammes de décanteurs lamellaires UTEP® caractérisées par une décantation sur nids d’abeilles avec différents diamètres hydrauliques d’alvéoles et de nombreuses fonctionnalités (gestion des débits, silo de stockage des boues CARBOU®, colonne de contrôle et de curage des boues ASPIBOU® sous la zone lamellaire…), selon la nature du projet ». Une filtration sur médias absorbants et adsorbants peut également être envisagée après décantation pour piéger les polluants résiduels : métaux lourds, HAP’s, etc..
La première consiste en une analyse approfondie de l’application visée, qui repose sur ses réalisations et leur suivi en R&D, mais également sur un mode opératoire d’évaluation de la décantabilité des matières en suspension reposant sur le protocole VICAS. « Ce protocole permet d’établir une courbe de l’abattement des MES en fonction de leur vitesse de chute, critère dimensionnel le plus important pour tout projet de décantation lamellaire », explique Jean-Yves Viau, Directeur opérationnel chez Saint Dizier environnement.
La seconde repose sur une évaluation des concentrations et flux en polluants, et donc des abattements à retenir, qui permet de définir la filière de traitement au plus juste, que ce soit par décantation, déshuilage ou filtration avec absorption ou adsorption. « Cette étape permet également de définir les volumes de polluants interceptés et les moyens les plus adaptés pour la maintenance et l’exploitation des ouvrages » précise Jean-Yves Viau.
La définition des ouvrages sur le plan hydraulique (gestion des débits et des volumes) et sur le traitement à partir de gammes standardisées ou sur mesure constitue la troisième étape.
« Nous avons plusieurs gammes d’ouvrages de prétraitement (débourbeurs et séparateurs de liquides légers IHDC, certifiés NF pour des tailles nominales jusqu’à 500) et de traitement des eaux pour répondre à des projets de toute surface de bassin versant, souligne Jean-Yves Viau. Pour une gestion des eaux pluviales à l’échelle de l’avaloir, le STOPPOL®, modèle certifié par l’organisme IKT en Allemagne, permet de traiter des surfaces imperméabilisées inférieures à 1.000 m². Au-delà, nous avons des gammes de décanteurs lamellaires UTEP® caractérisées par une décantation sur nids d’abeilles avec différents diamètres hydrauliques d’alvéoles et de nombreuses fonctionnalités (gestion des débits, silo de stockage des boues CARBOU®, colonne de contrôle et de curage des boues ASPIBOU® sous la zone lamellaire…), selon la nature du projet ». Une filtration sur médias absorbants et adsorbants peut également être envisagée après décantation pour piéger les polluants résiduels : métaux lourds, HAP’s, etc..