Afig’eo a conçu et mis en œuvre une station de traitement in-situ de déchets liquides sur une déchetterie pour le compte d’un gros exploitant dans le cadre d’une action de progrès.
Avant modification de la filière, les effluents étaient regroupés en plusieurs catégories et envoyés en traitement à l’extérieur. Les rejets en centre représentaient 2.000 m³/an.
Afig’eo a été mandaté pour réduire les coûts de traitement en les traitant sur site et les rendant compatibles avec la convention de déversement prévoyant notamment une DCO inférieure à 700 mg/L.
Des essais ont été effectués en laboratoire en trois phases successives pour définir précisément les filières de traitements les plus adaptées. « A chaque essai, la qualité des effluents évoluant, il a fallu trouver un traitement global capable de faire face aux variabilités induites par les déchets traités », explique Dominique Buzaré chez Afig’eo.
Pour limiter le montant de l’investissement, il a été décidé d’implanter une partie du process sous un préau existant réaménagé et dans deux containers de 40’’ placés à proximité immédiate.
Le premier container a été affecté au traitement des eaux souillées et des effluents de ressuage, caractérisés par une forte pollution organique avec une présence importante d’huiles (jusqu’à 10 %) : stockage et relevage des effluents, cassage des émulsions, déshuilage. Les effluents minéraux ont, été traités sur une filière reposant sur une neutralisation-coagulation, une électrocoagulation et une séparation des boues.
Le préau fermé a accueilli quant à lui une évaporation sous vide par pompe à chaleur (500 l/h nominal), un stockage du distillat et du concentrat caractérisés par un taux de concentration entre 6 et 10 selon le mélange des effluents. Quant au deuxième container, il a permis d’implanter le post-traitement du distillat avec une oxydation poussée par UV et H2O2, une finition sur charbon actif après acidification, et un rééquilibrage du pH avant rejet.
La mise en place de ses différentes filières a permis de passer d’une DCO moyenne avant traitement de 200.000 mg/l à une DCO moyenne en sortie de filtre presse de 9.000 mg/l, en sortie de distillat entre 1.500 et 3.500 mg/l et après traitement sur charbon actif à moins de 350 mg/l.
Avant modification de la filière, les effluents étaient regroupés en plusieurs catégories et envoyés en traitement à l’extérieur. Les rejets en centre représentaient 2.000 m³/an.
Afig’eo a été mandaté pour réduire les coûts de traitement en les traitant sur site et les rendant compatibles avec la convention de déversement prévoyant notamment une DCO inférieure à 700 mg/L.
Des essais ont été effectués en laboratoire en trois phases successives pour définir précisément les filières de traitements les plus adaptées. « A chaque essai, la qualité des effluents évoluant, il a fallu trouver un traitement global capable de faire face aux variabilités induites par les déchets traités », explique Dominique Buzaré chez Afig’eo.
Pour limiter le montant de l’investissement, il a été décidé d’implanter une partie du process sous un préau existant réaménagé et dans deux containers de 40’’ placés à proximité immédiate.
Le premier container a été affecté au traitement des eaux souillées et des effluents de ressuage, caractérisés par une forte pollution organique avec une présence importante d’huiles (jusqu’à 10 %) : stockage et relevage des effluents, cassage des émulsions, déshuilage. Les effluents minéraux ont, été traités sur une filière reposant sur une neutralisation-coagulation, une électrocoagulation et une séparation des boues.
Le préau fermé a accueilli quant à lui une évaporation sous vide par pompe à chaleur (500 l/h nominal), un stockage du distillat et du concentrat caractérisés par un taux de concentration entre 6 et 10 selon le mélange des effluents. Quant au deuxième container, il a permis d’implanter le post-traitement du distillat avec une oxydation poussée par UV et H2O2, une finition sur charbon actif après acidification, et un rééquilibrage du pH avant rejet.
La mise en place de ses différentes filières a permis de passer d’une DCO moyenne avant traitement de 200.000 mg/l à une DCO moyenne en sortie de filtre presse de 9.000 mg/l, en sortie de distillat entre 1.500 et 3.500 mg/l et après traitement sur charbon actif à moins de 350 mg/l.