Pour les biocapteurs comme pour les bioessais, le défi n'est plus réellement de prouver leur pertinence dans le cadre du monitoring de pollutions. Ce fait est aujourd'hui largement admis, plus ou moins consciemment, par l'ensemble des utilisateurs potentiels. En revanche, la question centrale qui occupe les esprits est celle de la significativité des mesures. En effet, quelle valeur affecter à un signal émanant d'un biocapteur ? Cette question est en fait celle de l'interprétation et de son corollaire : le risque de surinterprétation. Au-delà des aspects économiques et techniques, c'est cette question qui a déjà limité, dès leur origine, le déploiement des biocapteurs et des bioessais.
Avec 20 ans d'expérience dans le domaine et une approche résolument fondée sur les propriétés du vivant, Tronico Vigicell a pris cette question à bras-le-corps dès la conception de son biocapteur InSiTox. Soulageant ainsi l'utilisateur de cette question prégnante, le recours à un panel de trois bactéries assure à la fois une prise en compte de l'ensemble des polluants susceptibles de dégrader la qualité de l'eau mais aussi une interprétabilité sans ambiguïté des informations biologiques par croisement de celles-ci dans un schéma de prise de décision.
« L'InSiTox s'avère ainsi être beaucoup plus qu'un biocapteur, c'est un système d'information intégré délivrant une information interprétée directement utilisable pour des prises de décision opérationnelle tant en surveillance de la qualité d'une eau de ressource qu'en eau potable ou en tant qu'indicateur de performance dans le cadre d'un processus d'amélioration continue ou encore dans le cadre du pilotage des filières de traitement » souligne Laurent Paulic chez Tronico Vigicell.
« Pour l'utilisateur, la véritable valeur ajoutée d'un biocapteur ne résulte pas seulement dans le choix de tels ou tels éléments biologiques plutôt qu'un autre, mais dans la valeur et la robustesse de l'information interprétée qui en résulte, explique-t-il. Outre ses performances en termes de sensibilité, de simplicité d'usage par les opérateurs non formés, de son entretien quasi nul, c'est exactement la promesse de l'InSiTox et son facteur différenciant ».
Avec 20 ans d'expérience dans le domaine et une approche résolument fondée sur les propriétés du vivant, Tronico Vigicell a pris cette question à bras-le-corps dès la conception de son biocapteur InSiTox. Soulageant ainsi l'utilisateur de cette question prégnante, le recours à un panel de trois bactéries assure à la fois une prise en compte de l'ensemble des polluants susceptibles de dégrader la qualité de l'eau mais aussi une interprétabilité sans ambiguïté des informations biologiques par croisement de celles-ci dans un schéma de prise de décision.
« L'InSiTox s'avère ainsi être beaucoup plus qu'un biocapteur, c'est un système d'information intégré délivrant une information interprétée directement utilisable pour des prises de décision opérationnelle tant en surveillance de la qualité d'une eau de ressource qu'en eau potable ou en tant qu'indicateur de performance dans le cadre d'un processus d'amélioration continue ou encore dans le cadre du pilotage des filières de traitement » souligne Laurent Paulic chez Tronico Vigicell.
« Pour l'utilisateur, la véritable valeur ajoutée d'un biocapteur ne résulte pas seulement dans le choix de tels ou tels éléments biologiques plutôt qu'un autre, mais dans la valeur et la robustesse de l'information interprétée qui en résulte, explique-t-il. Outre ses performances en termes de sensibilité, de simplicité d'usage par les opérateurs non formés, de son entretien quasi nul, c'est exactement la promesse de l'InSiTox et son facteur différenciant ».