CELPOOL, distribué par Horus Environnement, est une alternative aux médias filtrants traditionnels destinés aux piscines. Il repose sur un média 100 % naturel, composé de zéolithes de type Clinoptilolite et Mordénite, qui éliminent les contaminants de l’eau des piscines. Ces zéolithes naturelles possèdent une capacité de réduction de l’ammoniac et des chloramines présentes dans l’eau, en diminuant substantiellement les risques d’irritations dermiques, oculaires et respiratoires. Elles possèdent une capacité de rétention de particules jusqu’à trois fois supérieures au sable.
Il en résulte des bénéfices importants, notamment une eau de meilleure qualité et des gains sanitaires importants pour les baigneurs.
Ces zéolithes sont plus légères que le sable (980 kg/m3), et leur structure permet d’utiliser 30 % de quantité en moins par rapport au sable. Elles réduisent les besoins en chlore d’environ 30 %, de même que les besoins en floculants et algicides. La fréquence de contre-lavages est diminuée de 50 %.
« Bien que CELPOOL soit un peu plus cher qu’un filtre de sable, le coût total de son utilisation sur tout son cycle de vie est inférieur aux médias traditionnels à base de sable ou de diatomite », souligne Gilles Duval chez Horus Environnement. Les rétrolavages, moins nombreux, permettent de réaliser des économies d’eau mais aussi de produits chimiques. De même, l’amélioration de l’efficacité de l’utilisation du chlore (causée par le retrait d’ammoniaque/ammonium et de contaminants organiques) conduit à une baisse notable de son utilisation. « En général, on obtient une baisse de chlore voisine de 30 %, parfois plus », précise Gilles Duval. Enfin, l’utilisation réduite de désinfectants conduit à une moindre utilisation de produits chimiques (comme le dioxyde de carbone) pour le contrôle du pH.
Il en résulte des bénéfices importants, notamment une eau de meilleure qualité et des gains sanitaires importants pour les baigneurs.
Ces zéolithes sont plus légères que le sable (980 kg/m3), et leur structure permet d’utiliser 30 % de quantité en moins par rapport au sable. Elles réduisent les besoins en chlore d’environ 30 %, de même que les besoins en floculants et algicides. La fréquence de contre-lavages est diminuée de 50 %.
« Bien que CELPOOL soit un peu plus cher qu’un filtre de sable, le coût total de son utilisation sur tout son cycle de vie est inférieur aux médias traditionnels à base de sable ou de diatomite », souligne Gilles Duval chez Horus Environnement. Les rétrolavages, moins nombreux, permettent de réaliser des économies d’eau mais aussi de produits chimiques. De même, l’amélioration de l’efficacité de l’utilisation du chlore (causée par le retrait d’ammoniaque/ammonium et de contaminants organiques) conduit à une baisse notable de son utilisation. « En général, on obtient une baisse de chlore voisine de 30 %, parfois plus », précise Gilles Duval. Enfin, l’utilisation réduite de désinfectants conduit à une moindre utilisation de produits chimiques (comme le dioxyde de carbone) pour le contrôle du pH.