« Lorsque l’on s’intéresse à la valorisation des effluents industriels, il faut pouvoir analyser de manière pro-active le continuum unité de production-station d’épuration en prenant du recul et progressivement localiser les sources de pollution, les économies possibles etc… Cette démarche n’est efficace qu’en analysant le procédé global depuis la réception des matières premières, des utilités jusqu’au point de rejet en sortie d’usine, explique Christophe Guillaumin, Chargé d’Affaires Séparation chez Alfa Laval. En effet, bien des effluents sont valorisables lorsqu’ils sont captés avant d’être mélangés et envoyés vers la station d’épuration. Nous sommes donc encore dans le procédé de fabrication, mais dans une zone grise, souvent peu considérée par l’industriel ».
La valorisation d’un effluent, c’est-à-dire l’action qui consiste à lui donner de la valeur ou plus de valeur, peut recouvrir principalement deux formes : une valeur monétaire par réduction de coûts. Il s’agit souvent de récupération de chaleur ou recyclage d’eau de process, au sein même du process industriel ou une valeur monétaire par valorisation externe. « Il s’agit ici de trouver des débouchés à des sous-produits considérés comme déchets mais pouvant devenir une matière première pour d’autres filières après divers degrés de transformation », explique Christophe Guillaumin.
Dans les deux cas, des technologies avancées de séparation (séparation centrifuge, filtration membranaire, évapo concentration) sont très souvent nécessaires pour extraire les sous-produits présents dans l’effluent et parfois re générer de l’eau dépolluée réutilisable comme eau technique. Alfa Laval propose ainsi différentes solutions de valorisation dans des domaines très différents tels que la récupération d’huile de maïs dans la production de bioéthanol à des fins de valorisation animale, de production d’huile de tall (tall oil) dans les papeteries Kraft qui rentre dans la composition de multiples produits (adhésifs, lubrifiants, pneumatique, cosmétique). C’est également le cas en valorisation des graisses et protéines contenues dans les effluents d’industries de transformation de viande, en extraction et purification d’hydrocarbures dans les déchets aqueux huileux, ou encore en récupération de chaleur dans les effluents industriels chauds.
La valorisation d’un effluent, c’est-à-dire l’action qui consiste à lui donner de la valeur ou plus de valeur, peut recouvrir principalement deux formes : une valeur monétaire par réduction de coûts. Il s’agit souvent de récupération de chaleur ou recyclage d’eau de process, au sein même du process industriel ou une valeur monétaire par valorisation externe. « Il s’agit ici de trouver des débouchés à des sous-produits considérés comme déchets mais pouvant devenir une matière première pour d’autres filières après divers degrés de transformation », explique Christophe Guillaumin.
Dans les deux cas, des technologies avancées de séparation (séparation centrifuge, filtration membranaire, évapo concentration) sont très souvent nécessaires pour extraire les sous-produits présents dans l’effluent et parfois re générer de l’eau dépolluée réutilisable comme eau technique. Alfa Laval propose ainsi différentes solutions de valorisation dans des domaines très différents tels que la récupération d’huile de maïs dans la production de bioéthanol à des fins de valorisation animale, de production d’huile de tall (tall oil) dans les papeteries Kraft qui rentre dans la composition de multiples produits (adhésifs, lubrifiants, pneumatique, cosmétique). C’est également le cas en valorisation des graisses et protéines contenues dans les effluents d’industries de transformation de viande, en extraction et purification d’hydrocarbures dans les déchets aqueux huileux, ou encore en récupération de chaleur dans les effluents industriels chauds.