Tours aéroréfrigérantes : MPC présente une solution sans produit chimique

La légionellose est une infection provoquée par la bactérie legionella pneumophila, vivant dans l’eau douce qui doit son nom à l’épidémie survenue lors d’un congrès de légionnaires aux États-Unis en 1976. Les principales sources de légionelles sont les réseaux d’eau chaude sanitaire et les systèmes de refroidissement par voie humide, c’est-à-dire les tours aéroréfrigérantes.

En 2004, suite à plusieurs cas de contamination par la bactérie legionella pneumophila, une nouvelle rubrique – 2921 – a été créée dans la nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE), afin d’encadrer le risque légionelle lié aux tours aéroréfrigérantes. Des normes définissent des méthodes d’analyse pour la recherche et le dénombrement de Legionella pneumophila.

Les textes réglementaires, quant à eux, fixent le niveau de concentration admissible et les conditions de surveillance avec l’arrêté du 14 décembre 2013.

Cet arrêté poursuit deux objectifs, le premier sanitaire avec la prévention du risque de développement de bactéries de type legionella pneumophila et le second environnemental avec la limitation de l’impact sur le milieu naturel.

Le premier objectif a été atteint et la gestion du risque sanitaire a été bien intégrée par les opérateurs dans la mesure ou aucun événement majeur tel que celui rencontré aux Etats Unis en 1976 n’est survenu. Les moyens majoritairement utilisés ont été de nature chimique, avec une utilisation massive de biocides ainsi qu’un certain nombre de produits destinés à pallier leurs effets indésirables, comme la corrosion ou l’entartrement des équipements. L’utilisation massive de ces produits chimiques polluants ont indéniablement un impact non négligeable sur l’environnement, et force est de constater que l’esprit de la loi n’a pas été pleinement respecté au regard de cet aspect.

Le ministère chargé de l’environnement et les autorités de contrôle comme la DREAL, pleinement conscients de l’importance du sujet, souhaitent en revenir à l’esprit originel de la loi, et considérer au même niveau d’importance l’aspect sanitaire et l’aspect environnemental de la prévention du risque légionelle. Ceci constitue donc un réel enjeu pour les entreprises qui vont devoir mieux intégrer la gestion de ce risque dans leur démarche environnementale.

Pour atteindre cet objectif ambitieux, MPC accompagne les entreprises et propose sa solution Clean Aero® , la seule véritable solution sans produits chimiques polluants. Pour ce faire, MPC utilise une technologie hybride innovante qui associe le rayonnement ultra-violet et l’eau oxygénée selon un protocole éprouvé par plusieurs années de retours sur expériences en milieu industriel.

Plus besoin de biocides chimiques, de produits anti corrosion et de produits anti tartre, à la fois coûteux et polluants. Cette solution hybride et innovante associe deux moyens synergiques de désinfection : la puissance bactéricide du rayonnement UV 254 nm pour l’eau circulante et l’efficacité de l’eau oxygénée pour lutter contre le développement du biofilm, additionnée selon le protocole MPC issu d’une expertise et d’une expérience inégalées au service de l’environnement. MPC installe directement les lampes UV dans le bassin d’eau à traiter.

Eprouvée, efficace et simple à intégrer, Clean Aero® permet de réaliser des économies allant jusqu’à 30% sur les coûts avec une exploitation simplifiée et une maintenance réduite.

L’eau ainsi traitée ne comporte pas de produits résiduels, et peut être ré-utilisée pour satisfaire d’autres besoins ou rejetée dans le milieu naturel (réseau d’eaux pluviales, cours d’eau, étang…) selon autorisation de la DREAL.

Clean Aero® de MPC UV est donc une solution innovante qui permet d’atteindre les objectifs fixés en matière de lutte contre le développement de legionella pneumophila, et ceci en parfaite adéquation avec l’arrêté du 14.12.2013, tant sur l’aspect sanitaire que sur l’aspect environnemental.