Dans le cadre d’un projet retrofit du navire d’expédition de la compagnie américaine Cruise Management International (CMI), la société norvégienne TECO2030 confie à BIO-UV la fourniture d'un système de traitement des eaux de ballast à base d’UV. Long de 49 mètres, d’un tonnage d’environ 1 300 tonnes et doté d’une capacité de 60 passagers, le Quest sera le cinquième navire de CMI à être équipé du système BIO-SEA.
« Cette nouvelle commande témoigne du succès de l'accord de partenariat commercial que nous avons signé avec TECO2030 depuis 2019, explique Maxime Dedeurwaerder, directeur de la Business Unit BIO-SEA by BIO-UV Group. L'efficacité environnementale et énergétique de notre technologie de traitement des eaux de ballast à base d'UV constitue la solution optimale pour les navires de croisière d'expédition opérant dans des environnements écologiquement sensibles ».
Le système est dimensionné pour garantir une conformité totale avec les réglementations internationales IMO (International Maritime Organization) et USCG (U.S. Coast Guard), en traitant des débits compris entre 20m3/h et 120m3/h à partir de l'un des systèmes de traitement des eaux de ballast le plus compacte et le plus économe du marché.
Modulaire pour s'adapter à l'espace limité disponible, le système installé sur le navire Quest dispose de 2 lampes UV pour traiter un débit d'eaux de ballast de 55 m3/h. « Chaque lampe peut traiter des débits d'eau de ballast allant jusqu'à 30m3/h. Une ou deux autres lampes peuvent également être ajoutées au système pour traiter des débits plus élevés. La maintenance est donc réduite pour l'équipage, avec moins de pièces de rechange conservées à bord, et les capteurs UV automatisés s'adaptent à la qualité de l'eau ce qui permet de réduire la consommation d'énergie et de préserver la durée de vie des lampes », souligne Maxime Dedeurwaerder.