A chaque crise de nouvelles normes et de nouvelles restrictions s’imposent dans le secteur de l’eau et de la déshydratation des boues en particulier. Cette étape qui constitue le premier poste de coûts dans les stations d’épuration est le deuxième poste le plus énergivore après l’aération. Les coûts d’investissement et les coûts d’exploitation se cumulent et pèsent de plus en plus lourds dans le compte des gestionnaires et exploitants. « Nous sommes désormais contraints de compter chaque KWh dépensé, chaque kilo de réactifs, chaque litre d’eau et chaque euro dépensé. Les mentalités évoluent, et on parle désormais de sobriété, d’efficacité énergétique et de bilan d’exploitation comparatif tenant compte de l’empreinte carbone. La société Adequatec, pionnier et leader technologique, de la déshydratation en France, a eu cette bonne intuition, il y a quinze ans déjà, explique Abel Smati, gérant d’Adequatec. Elle a introduit les presses à vis Adequatec qui apportent la réponse adéquate à toutes ces contraintes. En effet, les ateliers de déshydratation Aadequatec génèrent des économies sur tous les postes d’exploitation : 15 à 20 fois moins d’électricité, 2 à 3 fois moins de réactifs (polymère), 10 à 20 fois moins d’eau et seulement 1 à 2 heures de présence humaine par semaine ». Selon les sites, le retour sur investissement est de 20 à 30 mois.